Entretenir ses lingettes démaquillantes lavables, un jeu d’enfant !

Entretenir ses lingettes démaquillantes lavables : simple, malin, durable

Passer aux lingettes démaquillantes lavables, c’est souvent le premier pas vers une salle de bain zéro déchet. Un petit geste du quotidien, facile à adopter, bon pour la planète… et pour votre porte-monnaie.

Mais pour que ce soit vraiment chouette à long terme, il faut que l’entretien suive : rapide, efficace et sans prise de tête.

Aujourd’hui, on vous partage nos meilleures astuces pour garder vos carrés lavables comme neufs, même après des dizaines (voire des centaines !) d’utilisations. Spoiler : c’est facile. Et promis, on ne parle pas de lessive au clair de lune 🌙

La routine toute simple avec le Kit Eco Belle

Le secret pour que vos lingettes s’intègrent naturellement à votre routine ? Un peu d’organisation… et surtout le bon accessoire au bon endroit.

Avec le Kit Eco Belle, tout est prévu :

• Une boîte en bois pour les carrés propres
• Un filet de lavage en coton bio pour les carrés utilisés

On passe de la routine « je prends mon coton et je le jette » à « je prends mon carré, je le glisse dans le filet ». Le tout en trois secondes chrono. Et ensuite ? Le filet part dans la machine avec le reste du linge à 30 ou 40°C. Simple comme bonjour.

Option bonus : un petit tour au sèche-linge doux ou un séchage à l’air libre, et c’est reparti !

Pourquoi le filet est indispensable ?

Qu’ils soient en eucalyptus, bambou ou coton bio, vos lingettes méritent un peu de douceur. 

Le filet de lavage protège les fibres, évite qu’elles s’abîment… et surtout, qu’elles ne se glissent sournoisement dans une manche ou une poche. On a déjà perdu assez de chaussettes dans nos vies. Pas question de recommencer avec les cotons démaquillants, non mais !

Enfin, mais surtout… Il permet que les cotons ne soient écrasés contre le lave linge et donc ne soient pas lavés !

 

Et quand vos lingettes font grise mine ? Place au décrassage !

Malgré un lavage régulier, il peut arriver que vos carrés s’encrassent un peu. Mascara waterproof, maquillage à l’huile, rouge à lèvres tenace : à la longue, tout ça laisse des traces.

Mais pas de panique, on a le plan B : le décrassage maison, simple et redoutablement efficace.

Témoignage de Stefany, membre de la communauté :
« J’ai récupéré mes carrés lavables tout gris et tout ternes après ce bain magique ! J’ai mélangé dans un saladier 1,5 L d’eau chaude, 2 cuillères à soupe de cristaux de soude, un peu de vinaigre blanc (à l’œil, comme en cuisine). J’ai laissé tremper toute la matinée, puis j’ai frotté chaque carré avec un savon au fiel. Ensuite, direction la machine avec un peu de cristaux de soude en plus, et un lavage à 90°C (une fois, exceptionnellement). Résultat ? Mes carrés sont redevenus tout doux, tout blancs, prêts à revivre plein de routines beauté sans déchets !”

Bravo Stefany, tu mérites un prix pour service rendu à la planète.

En résumé : adopter, entretenir, aimer

Entretenir vos lingettes lavables, ce n’est pas une corvée. C’est juste une nouvelle habitude à adopter. Et comme toute bonne habitude, elle vous apportera beaucoup de satisfaction à long terme.

• Vous réduisez vos déchets
• Vous faites des économies
• Vous prenez soin de votre peau

Et vous contribuez, à votre échelle, à un monde plus doux

Et vous, c’est quoi votre astuce fétiche pour entretenir vos carrés ? Une recette magique ? Un geste malin ? Une routine bien à vous ? Racontez-nous tout, on adore partager vos témoignages avec la communauté 🌱

Les Tendances d’Emma – Du durable dans vos gestes quotidiens, avec cœur et bon sens.

Accompagner l’aromathérapie à l’hôpital, notre nouvelle action solidaire !

Accompagner des jolis projets, on adore ça. Et quand en plus ça touche au monde des soins à l’hôpital, Emma, ancienne infirmière, se sent d’autant plus concernée ! Aujourd’hui, je laisse la parole à Laury, qui s’est lancée le merveilleux défi d’intégrer l’aromathérapie en milieu hospitalier. On a tellement adorer que Emma n’a pas hésité à soutenir ce projet d’accompagner l’aromathérapie à l’hôpital !

Accompagner l’aromathérapie à l’hôpital ? L’idée de Laury !

« Je suis infirmière en soins généraux depuis 2004 et suis passionnée par ce que je fais. Le contact avec les patients est essentiel dans mon métier. Passionnée également par la nature et les médecines alternatives et holistiques. J’ai décidé en 2013, de me former à l’aromathérapie, auprès de l’École Lyonnaise des Plantes Médicinales. Un an de formation réalisée sur mon temps libre. Une année enrichissante et formatrice, qui m’a permis d’acquérir des connaissances solides et fiables sur l’aromathérapie familiale et scientifique. Je débute en parallèle un travail de recherche sur l’aromathérapie hospitalière, ses possibilités et sur ce qui est déjà mis en place dans certains hôpitaux français et européens.

Après un changement de région, je débute dans un nouveau service, dans un hôpital, où je sens qu’un projet d’aromathérapie pourrait être viable et envisageable. J’ai donc pris le parti d’aborder, dès mon entretien d’embauche, le souhait de mêler l’aromathérapie à mon métier d’infirmière, ce qui a été entendu et plutôt bien accueilli. C’est un établissement public de santé, l’activité s’inscrit dans la filière gériatrique et handicap. La patientèle rencontrée dans le service où je suis en poste est avant tout âgée, polymédicamentée, avec souvent des troubles du comportement, des pathologies type maladie d’Alzheimer ou en situation de soin palliatif. L’aromathérapie pourrait être un plus dans la prise en charge. Et si je relevais le défis de faire rentrer l’aromathérapie à l’hôpital?

La naissance du projet !

C’est donc de manière informelle que j’ai sollicité ma hiérarchie afin de leur parler de mon projet. L’idée était simple, à mes yeux l’aromathérapie pouvait faire son entrée à l’hôpital selon un axe, l’olfactologie. En effet, les huiles essentielles peuvent être utilisée par plusieurs voies. La voie cutanée, en vue de la population âgées de l’hôpital me semblait peu envisageable, tout comme la voie interne. Mais en diffusion l’aromathérapie offre deux aspects intéressants, surtout dans le monde hospitalier. A savoir la gestion des odeurs et l’impact émotionnel et psychique que les molécules aromatiques peuvent offrir.

C’est ainsi que j’ai présenté mon projet. J’ai par la suite cherché des personnes ressources, qui pourraient dans un premier temps me donner leur ressenti sur la viabilité de ce projet. Mais aussi le faire vivre au sein des différentes unités de soins. N’oublions pas que je suis infirmière en poste avant tout, et non détachée à temps plein pour ce projet. C’est ainsi que j’ai rencontré des animatrices et aides soignantes de certains services, prêtes à participer à mon projet. Continuer la lecture « Accompagner l’aromathérapie à l’hôpital, notre nouvelle action solidaire ! »

Les déchets dans la salle de bain ? Entre jetable et gaspi !

Que l’on soit adepte du long bain moussant ou de la douche rapide, chaque passage à la salle de bain génère des déchets et impacte l’environnement. Évidemment, arrêter de se laver n’est pas une solution. Mais comprendre quels sont nos déchets et quelles sont leurs conséquences permet d’agir pour les réduire. Et si on faisait le point sur les déchets dans notre salle de bain ?

Les produits jetables, source de déchets dans la salle de bain !

De nombreux produits jetables sont utilisés chaque jour dans nos salles de bain. Cotons démaquillants, cotons-tiges, brosses à dents en plastique ou encore rasoirs jetables… A force de vouloir se simplifier la vie, on remplit nos poubelles ! Si une salle de bain Zéro déchet est évidemment la solution idéale, il est déjà possible facilement de réduire l’impact de nos routines de soins en changeant quelques habitudes. Continuer la lecture « Les déchets dans la salle de bain ? Entre jetable et gaspi ! »

Agir contre le suremballage : nos 5 solutions faciles !

En France, 100 milliards d’emballages sont jetés chaque année. Soit presque 5 millions de tonnes de déchets ! Si certains emballages sont utiles, voire même indispensables, le suremballage lui est à éviter ! Super… Mais comment agir contre le suremballage ? On le reconnaît, certaines fois cela est compliqué… Cependant de simples #petitsgestes permettent de réduire cet achat de futurs déchets cartons et plastiques !

Contre le suremballage, choisissez vos… emballages !

Certains emballages sont difficiles à supprimer, par exemple avez-vous déjà essayé de transporter des œufs sans boîte ? Si la réponse à cette question est oui, on veut bien connaître l’histoire 😉 Mais soyons honnête, une douzaine d’oeufs sans boîte c’est risqué… Là encore, le principe est archi-simple : il ne faut pas culpabiliser si nus ne pouvons nus passer de certains emballages. Essayons de faire au mieux en choisissant les emballages recyclables et recyclés ! Continuer la lecture « Agir contre le suremballage : nos 5 solutions faciles ! »

Le suremballage, ennemi de l’écologie ! Stop aux emballages superflus !

Les problématiques de transport, de conservation, de stockage ou de marketing font de l’emballage un enjeu crucial pour les entreprises. Malheureusement, aussi important soit-il, il a également de lourdes conséquences sur l’environnement ! Ennemi de l’écologie, le suremballage est aujourd’hui largement dénoncé à l’heure où le 7° continent de plastique ne cesse de grandir… Il est temps de se poser la question : quelles sont les conséquences réelles de ce suremballage ?

Le suremballage c’est quoi ?

S’il est facile de diaboliser le suremballage et ses conséquences, il n’en reste pas moins que l’emballage est souvent utile. Il existe 3 usages principaux d’emballages :

• L’emballage de vente : celui qui permet de conditionner une unité d’un produit. C’est par exemple le cas du pot de yaourt.
• L’emballage de conditionnement : celui qui permet de regrouper un certain nombre d’unités pour les vendre en lot. C’est toujours le cas du yaourt.
• L’emballage de transport : C’est l’emballage qui permet de protéger le produit lors de sa manutention et de son transport jusqu’à son lieu de vente.

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